jeudi 27 mars 2025
Le Concept de Logistique
concept de logistique
La logistique est un ensemble de processus et de pratiques qui visent à planifier, mettre en œuvre et contrôler efficacement le flux de biens, de services et d'informations, depuis le point d'origine jusqu'au point de consommation. Son objectif principal est de répondre aux besoins des clients tout en optimisant les coûts et les ressources.
Les principales composantes de la logistique :
Gestion des approvisionnements : Cela inclut l'achat de matières premières, la sélection des fournisseurs et la gestion des stocks pour s'assurer que les ressources nécessaires sont disponibles au bon moment.
Gestion des stocks : Il s'agit de la surveillance et du contrôle des niveaux de stock afin de minimiser les coûts tout en s'assurant que les produits sont disponibles pour répondre à la demande.
Gestion du transport : Cela concerne le choix des modes de transport (route, rail, mer, air) et l'organisation des expéditions pour livrer les produits aux clients de manière efficace.
Gestion des entrepôts : Cette composante implique la gestion des installations où les produits sont stockés, y compris la disposition des marchandises, la gestion des espaces et les systèmes de gestion des entrepôts.
Gestion de l’information : Une logistique efficace nécessite des systèmes d'information pour suivre le mouvement des biens et des informations, permettant une prise de décision rapide et éclairée.
Gestion de la chaîne d'approvisionnement : Cela englobe l'intégration de tous les acteurs de la chaîne, y compris les fournisseurs, les fabricants, les distributeurs et les clients, dans le but d'améliorer l'efficacité globale.
Importance de la logistique :
Satisfaction client : Une logistique bien gérée permet de livrer les produits à temps et dans de bonnes conditions, augmentant ainsi la satisfaction des clients.
Réduction des coûts : L'optimisation des processus logistiques peut réduire les coûts d'exploitation, ce qui peut se traduire par des prix plus compétitifs.
Avantage concurrentiel : Les entreprises qui maîtrisent leur logistique peuvent se différencier sur le marché par une meilleure réactivité et un service de qualité.
En résumé, la logistique est un élément crucial pour le bon fonctionnement des entreprises, contribuant à l'efficacité opérationnelle et à la satisfaction des clients.
mardi 25 mars 2025
L'ATEC quelques actions qui pourraient être entreprises !
académie troyenne d'études cartophiel dont je suis un co-fondateur avec Claude bérisé !
L'Académie Troyenne d'Études Cartophiles, en tant qu'organisation dédiée à l'étude et à la promotion de la cartophilie (la collection et l'étude des cartes postales), a certainement un rôle important à jouer dans la préservation du patrimoine graphique et historique. En tant que co-fondateur, vous contribuez à la valorisation de cet art et à la transmission de connaissances sur les cartes et leur histoire.
- Voici quelques activités que pourrait entreprendre une académie de ce type :
-Organisation d'expositions : Mettre en place des expositions temporaires ou permanentes présentant des collections de cartes postales historiques ou contemporaines.
-Publications : Rédiger et publier des ouvrages, des revues ou des bulletins sur les sujets liés à la cartophilie, les techniques de collection et l'histoire des cartes postales.
-Conférences et ateliers : Animer des conférences, des séminaires ou des ateliers pour sensibiliser le public à la cartophilie et partager des techniques de conservation et d'évaluation des cartes.
-Réseautage : Créer un réseau de passionnés, de collectionneurs et de chercheurs pour échanger des informations et des ressources.
-Recherche : Encourager et soutenir des projets de recherche sur des thèmes liés à la cartophilie, en documentant l'évolution des cartes postales à travers l'histoire.
-Partenariats : Établir des partenariats avec d'autres organisations culturelles, musées ou bibliothèques pour enrichir les activités et les ressources disponibles.
-Si vous avez des projets spécifiques ou des questions sur l'académie, n'hésitez pas à les partager !
Ecrit en collaboration avec IA.
vendredi 14 mars 2025
Machine à coudre : publié en 2007, ça montre mon intérêt pour le thème Bonneterie et Textile
lundi 24 décembre 2007
Ca montre mon intérêt pour le thème Bonneterie et Textile
Machine à coudre
Une machine à coudre est une machine, d'usage domestique ou industriel, qui exécute mécaniquement les points de couture, généralement en utilisant deux fils, le fil supérieur enfilé dans l'aiguille, et le fil inférieur venant de la canette. La première machine à coudre réellement fonctionnelle est attribuée à Barthélemy Thimonnier, tailleur français d'Amplepuis (Rhône) qui en déposa le brevet en 1830. La machine à coudre à navette, fonctionnant aux pieds avec une pédale fut brevetée le 12 mai 1868 par Pierre Carmien. Les premières machines à coudre, apparues au XIXe siècle, étaient mécaniques et mues manuellement, de nos jours elles sont généralement électriques et font de plus en plus appel à l'électronique. cf Wikipédia - Illustration Almanach Hachette 1922
La mortalité infantile en France progresse alors que les naissances diminuent.
Questions du soir : le débat
Provenant du podcast
Avec 4,1 décès pour 1 000 naissances, la mortalité infantile en France augmente, alors qu’elle diminue ailleurs en Europe. En cause : fermetures de maternités, surcharge des hôpitaux, manque de personnel. Pourquoi la France est-elle en si mauvaise position ? Comment mieux protéger les nouveau-nés ?
Avec
Sébastien Leurquin, journaliste d'investigation
François Goffinet, gynécologue-obstétricien, chercheur en épidémiologie périnatale, chef de service à la maternité Port-Royal.
Lucile Abiola, sage-femme clinicienne en psychiatrie périnatale au CHU d'Angers et doctorante en éthique
Avec un taux de 4,1 ‰, le pays est l’un des plus mal classés en Europe. Derrière ce chiffre, des réalités alarmantes : manque de lits en réanimation néonatale, fermetures de maternités, pénurie de soignants et recours croissant aux intérimaires, ce qui dégrade la qualité des soins. Les premiers jours de vie sont les plus critiques : 70 % des décès ont lieu à la maternité. Les inégalités sont marquées selon les territoires, la Seine-Saint-Denis et les départements ultramarins étant les plus touchés. Les professionnels alertent depuis des années, mais les réponses politiques restent insuffisantes. Si des mesures ont été annoncées, elles peinent à compenser des années de désinvestissement. Un plan d’urgence est nécessaire pour renforcer les effectifs, assurer un suivi postnatal efficace et garantir un accès aux soins sur tout le territoire.
Pour aller plus loin :
- Nous vous recommandons la lecture de l'enquête de Sébastien Leurquin et Anthony Cortes, "4,1 : le scandale des accouchements en France", qui vient de paraitre aux éditions Buchet Chastel.
Analyse la Fécondité dans la département de l'Aube
Fécondité: diversité du monde et des départements français
Julien Damon12 mars 2025
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La fécondité s’échelonne d’un plus bas à Paris (1,25 enfant par femme) à un plus haut à Mayotte (4,50). Si on prend des pays à niveau de fécondité équivalent, par département, alors la France rassemble une grande partie du monde, du Japon (pour Paris), au Mozambique (pour Mayotte), en passant par l’Iran (pour l’Aube) ou encore les États-Unis (pour le Doubs). Une autre façon de lire les disparités départementales et mondiales.
La France sur le podium occidental de la fécondité
La France se désole depuis plusieurs années, et de plus en plus vivement, de sa faible fécondité : 2 enfants par femme en 2010, moins de 1,7 en 2023, un tout petit peu plus de 1,6 en 2024.
Si la France s’inquiète de sa démographie, relativiser la baisse de sa fécondité s’avère relativement aisé dans la mesure où le pays figure encore en tête, en la matière, de l’Union européenne, et en très bonne place dans l’OCDE[1].
Depuis les débuts du XXIe siècle, le pays faisait amplement, jusqu’à récemment, exception grâce à un taux de fécondité relativement élevé qui a commencé à baisser plus tardivement qu’ailleurs. Cette exception française se dilue, car la France rejoint des tendances à la baisse et des niveaux qui affectent d’autres pays occidentaux.
En Europe, les taux de fécondité s’homogénéisent partiellement, mais le constat demeure valable : la France compte parmi les pays riches où la fécondité est la moins dégradée. Depuis le milieu des années 1990, son indice conjoncturel de fécondité se situe significativement au-dessus de la moyenne des pays de l’OCDE et de la moyenne européenne. Certes, ces moyennes sont affectées par les évolutions de la composition de ces groupes de pays. La leçon n’en reste pas moins exacte. Elle se double d’ailleurs d’une autre information : des années 1970 aux années 1990, la France se situait, en gros, dans la moyenne européenne et clairement sous la moyenne de l’OCDE. Conclusion à conserver toujours à l’esprit : la fécondité n’a rien d’immuable et évolue fortement, en valeur absolue comme en valeur relative.
Dans les années 2000, la France était en compétition avec l’Irlande pour le premier rang européen de la fécondité. À partir des années 2010, l’hexagone a distancé le trèfle. Dans les années 2000, la France faisait également la course derrière les États-Unis. À partir des années 2010, le coq a dépassé Oncle Sam. Au début des années 2020, en Europe, la France dispute la première place avec la République tchèque, la Roumanie, le Danemark, l’Irlande (toujours dans la course donc), la Suède et la Slovénie.
Diversité départementale et ultra-marine de la fécondité
Une fécondité moyenne à l’échelle nationale masque une forte hétérogénéité géographique du territoire national. En l’espèce, des territoires ultra-marins, mais pas l’ensemble des outre-mer, se distinguent. En 2023, en métropole, au sens strict, l’indice conjoncturel de fécondité varie, pour le plus bas, de 1,25 à Paris, à, pour le plus haut, 2,11 dans le Val-d’Oise. Parmi d’autres variables, l’immigration, diversement présente dans les départements, joue un rôle notable. Mais ce n’est absolument pas l’unique dimension. Degré d’urbanisation, traditions, religions, diversité des structures familiales, offre d’équipements sociosanitaires, perspectives économiques des territoires, attractivité différenciée pour les jeunes ménages figurent, entre autres, parmi les déterminants possibles des démographies locales.
Les départements les moins féconds et les plus féconds (indices conjoncturels de fécondité, 2023)
Source : Insee.
Parmi les dix départements les plus féconds, on relève quatre départements ultra-marins. Mayotte (4,49 enfants par femme) et la Guyane (3,32) se trouvent largement en tête, avec de fortes et préoccupantes problématiques d’immigration irrégulière, ayant un impact notable sur la fécondité. La Réunion (2,28) se range en troisième position, suivie de trois départements franciliens caractérisés notamment par leurs niveaux d’immigration mais aussi d’urbanisation.
La Guadeloupe (2,04) n’arrive qu’en dixième place. La Martinique (1,66), elle, tient la cinquante-troisième place. Tendanciellement, l’indicateur conjoncturel de fécondité et le nombre de naissances baissent aux Antilles. Ces territoires comptent parmi ceux qui blanchissent, au sens de vieillissent, le plus vite.
Un tableau original: mettre en correspondance départements et pays équivalents
Une voie originale pour saisir la diversité française et approcher, dans le même temps, la diversité du monde, consiste à associer à chaque département un pays dont le taux de fécondité est équivalent. L’exercice, réalisable pour l’année 2023, n’est pas aussi simple qu’il n’y paraît car les données ne sont pas, partout sur la planète, de la même qualité que celles produites par l’INSEE ou par l’INED. Il est cependant possible de rapprocher les départements d’un pays équivalent, ou se rapprochant, si l’on ne s’arrête pas systématiquement au deuxième chiffre après la virgule. De toutes les manières l’essentiel relève des ordres de grandeur.
Associations de départements et de pays selon leur niveau de fécondité (2023)
Source : INSEE, Division de la population de l’ONU
Première observation, sur le registre de la faible fécondité et de l’hiver démographique (pour prendre une expression qui fait florès), aucun département français ne se trouve à 0,7 enfant par femme, comme à Hong Kong, à Macao ou en Corée du Sud (nation aujourd’hui la moins féconde au monde).
Aucun département ne saurait être non plus comparé à la situation de Singapour (0,94) ou de l’Ukraine (0,98), et, parmi les États membres de l’Union européenne, de Malte (1,06), de l’Espagne (1,12) et de la Lituanie (1,18). Les départements français sont spécifiques dans une Union dont l’indice de fécondité est, en moyenne, inférieur à 1,4. On ne trouve que cinq d’entre eux en dessous de ce niveau : Paris, la Haute-Corse, la Meurthe-et-Moselle, la Corse-du-Sud, la Haute-Garonne. On trouve encore ici un argument pour nuancer l’affaiblissement de la fécondité française.
Lorsque la faible fécondité est évoquée à l’échelle du monde, vient souvent à l’esprit, au-delà de la République de Corée, le cas du Japon. Son indice de fécondité est, à la deuxième décimale près, équivalent à celui de Paris, à peu près similaire aussi à la situation de l’Italie (1,20), de la Thaïlande (1,21) ou de l’Espagne (1,21). Observation intéressante pour qui cherche à comparer.
Si l’on se penche sur les départements à niveau de fécondité plus élevé, on peut relever, peut-être avec surprise ou malice, que l’Essonne ressemble à l’Inde. Mais, comme pour nombre de ces associations départements/pays il y a là d’abord du hasard statistique et des choix de présentation. L’Essonne peut tout aussi bien être associée à l’Équateur ou à Bahreïn.
Si l’on prend plus précisément les deux territoires ultra-marins les plus féconds, la Guyane et Mayotte, ils s’associent, sans aucune surprise, à des pays en développement à très haute fécondité. Ils ne sont toutefois pas à hauteur de la Somalie, du Tchad, du Niger, ou du Mali, qui tournent autour de 6 enfants par femme. Pour Mayotte, qui se rapproche, en termes de fécondité du Mozambique (que le canal du même nom sépare géographiquement), le niveau est tout de même particulièrement élevé puisque, sur plus de 250 zones (dont environ 200 nations) traitées statistiquement par la division de la population de l’ONU, Mayotte figure au treizième rang mondial, à côté donc de son voisin le Mozambique.
Du côté des départements qui tournent autour du niveau de fécondité moyen du pays (un peu plus de 1,6 en 2023) on trouve des comparaisons aisées avec des pays aussi différents que le Brésil, les États-Unis, la Colombie, la Nouvelle Zélande. Évidemment ces observations ne doivent pas conduire à imaginer que les déterminants de la fécondité dans le Doubs sont ceux des États-Unis, ou ceux Jura ceux de l’Azerbaïdjan. Mais ces associations offrent une perspective d’étonnement sur les réalités françaises et les réalités du monde.
[1]. Pour davantage de précisions et des analyses plus fouillées, on se permet de renvoyer à Julien Damon, Les Batailles de la natalité. Quel « réarmement démographique » ?, Éditions de l’Aube, 202
Analyse Logistique de processus
Analyse de processus Logistique
L'analyse des processus logistiques est essentielle pour identifier les inefficacités, optimiser les opérations et améliorer la chaîne d'approvisionnement dans une entreprise. Voici un cadre général pour analyser les processus logistiques :
1. Identification des Flux Logistiques
Flux de Matières : Identifier les mouvements de matières premières, produits en cours de fabrication et produits finis.
Flux d'Information : Cartographier la circulation des informations entre les différents acteurs de la chaîne, y compris les commandes, les inventaires et les prévisions.
2. Cartographie des Processus
Diagrammes de Flux : Utiliser des diagrammes de flux pour visualiser le processus logistique, y compris les étapes majeures comme la réception, le stockage, la préparation de commandes et l'expédition.
BPMN (Business Process Model and Notation) : Appliquer des notations formelles pour une compréhension précise des interactions entre les différentes étapes du processus.
3. Analyse des Performances
KPI (Indicateurs de Performance Clé) : Définir des KPI pertinents pour évaluer l'efficacité des processus logistiques, tels que :
Taux de service (pourcentage des commandes livrées à temps)
Coût logistique par unité
Rotation des stocks
Taux de retour
Analyse des Délais : Évaluer le temps requis à chaque étape du processus pour détecter les goulets d'étranglement.
4. Identification des Problèmes
Goulets d’étranglement : Identifier les étapes du processus qui ralentissent l'ensemble des opérations.
Coûts Inutiles : Analyser les coûts associés aux activités non productives ou inefficaces.
Qualité : Évaluer les retours ou les erreurs dans les commandes qui pourraient indiquer des problèmes de qualité.
5. Écoute des Parties Prenantes
Réunions et Interviews : Impliquer les différents acteurs de la chaîne logistique (fournisseurs, employés, clients) pour recueillir des retours sur les défis rencontrés et les opportunités d'amélioration.
6. Propositions d'Amélioration
Automatisation : Identifier les processus pouvant bénéficier de l'automatisation pour réduire les erreurs et les délais.
Optimisation des Stocks : Mettre en œuvre des techniques de gestion des stocks pour mieux anticiper la demande et réduire le surstock.
Technologie : Explorer l'utilisation de logiciels de gestion logistique (TMS, WMS) pour améliorer la traçabilité et la gestion des ressources.
7. Mise en Œuvre et Suivi
Plan d’Action : Développer un plan d’action clair pour mettre en œuvre les améliorations identifiées, y compris les ressources nécessaires et un calendrier.
Suivi des Résultats : Après mise en œuvre, suivre les résultats à l’aide des KPI définis pour évaluer l’impact des changements.
8. Amélioration Continue
Cycle PDCA (Plan, Do, Check, Act) : Adopter une approche d'amélioration continue pour réévaluer régulièrement les processus logistiques et ajuster les stratégies en conséquence.
Conclusion
L'analyse des processus logistiques est un outil clé pour améliorer l'efficacité opérationnelle et réduire les coûts. En suivant ce cadre méthodologique, une entreprise peut mieux comprendre ses opérations logistiques, identifier des opportunités d'amélioration et mettre en œuvre des changements efficaces
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