J’habitais au 963 de la Rue
Du bois-le-Prêtre une grande maison champagne
Un joli pavillon qui paraît disparu
Parmi les pins les lilas les saules la campagne
Mes parents y vécurent pour l’avoir construite
Le sol en comblanchien luit de rires d’enfants
La vie était simple comme je l’ai décrite
Comme emplie de fleurs d’oiseaux chantants et piaffants
Leurs trilles m’enchantent encore même l’hiver
Puisqu’en hiver je suis revenue au jardin
De mon enfance – des Amis qui me sont chers
Sont aussi allés me saluer au jardin
Même le facteur en bicyclette au képi
Qu’on voit de loin avec sa délicate aisance
Est venu me saluer – quand toute tapie
je veillais – pour présenter ses condoléances
Pivoines iris et roses multicolores
Qui prospérez ici comme nulle autre plante
Faillait-il pour perdurer que l’on vous adore
Les volubiles au point d’être envahissantes
Et chaque soir à la fenêtre magistral
Le crépuscule immense baie de l’immanence
Vient déposer les nues en son fait orchestral
Cieux irisés étoiles tous ors d’éminences…
Carrare
La poésie a la recherche d'une spatialité
OU PEUT TROUVER SES ŒUVRES ?
RépondreSupprimerJe ne le sais pas ! Elles n'a pas publié. C'est une personne très discrète.
RépondreSupprimervoici sa thèse :
RépondreSupprimerhttp://www.sudoc.abes.fr/DB=2.1/SRCH?IKT=12&TRM=041467388
merci
SupprimerLaurent.....06 87 31 73 14
RépondreSupprimerUne bouteille à la mer... Affectueuses pensées souvenir du boulevard ney pam
RépondreSupprimerJe suis heureuse de t avoir presque retrouvée grâce à la poésie
J aimerai qu on reprenne contact
Affectueuses pensées Sylvie
Peut on voir sa bibliographie
RépondreSupprimerVery thhoughtful blog
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