Par à travers l'immensité de la misère
Des chemins noirs et des routes de pierre,
Les nuits, les jours, toujours,
Ronflent les continus battements sourds,
Dans les faubourgs,
Des fabriques et des usines symétriques.
Les usines (extrait)
Émile VERHAEREN (1855-1916)
(Recueil : Les villes tentaculaires)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire