Jacques Roland Fournier
Photographe
Contrairement
à la peinture et à l’idée
C’est le photographe qui doit prendre la pause
L’instantané tient à ce simple jeu de dés
Intuitif concert :
goût et hasard où l’on ose
Attendre que le monde vienne à son idée
Mais c’est le monde comme une carte postale !
Dis-je à cet artiste auquel tout paraît simple
— Qui tait toute l’algébrique de son mental—
« L’appareil est sophistiqué » croit-on en simple
Ses clichés figent le temps en instrumental
Symphonies de formes et couleurs démentielles
Fluides cristallins d’un bateau en argent
Flèches tendues à gratter le ciel
Trains et bateaux sur ciels grisés et ces gens
Comme manèges de la vie, Ô geste essentielle !
C’est le photographe qui doit prendre la pause
L’instantané tient à ce simple jeu de dés
Intuitif concert :
goût et hasard où l’on ose
Attendre que le monde vienne à son idée
Mais c’est le monde comme une carte postale !
Dis-je à cet artiste auquel tout paraît simple
— Qui tait toute l’algébrique de son mental—
« L’appareil est sophistiqué » croit-on en simple
Ses clichés figent le temps en instrumental
Symphonies de formes et couleurs démentielles
Fluides cristallins d’un bateau en argent
Flèches tendues à gratter le ciel
Trains et bateaux sur ciels grisés et ces gens
Comme manèges de la vie, Ô geste essentielle !
— Jacques Roland FOURNIER Photographe
Œuvre son temps sans paraphe —
CARRARE
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