dimanche 18 décembre 2016
mardi 29 novembre 2016
lundi 14 novembre 2016
mardi 1 novembre 2016
lundi 31 octobre 2016
TONNERRE la Fosse Dionne
Reflet très expressif du demi cercle des maisons au dessus de la vasque de la source exsurrgente. |
dimanche 23 octobre 2016
samedi 22 octobre 2016
samedi 15 octobre 2016
Automne Elisabeth FUMINIER-CARRARE (La poésie à la recherche d’une spatialité)
AUTOMNE
Automne
tes platanes venus jaunir
A la
fenêtre m’émeuvent de leurs doigts
C’est
l’heure où je sens monter un triste émoi
Qui
chaque année semble hélas me revenir
Un ciel
un peu trop grisé délaie ses brumes
Je chante
pour toi qui dors au firmament
Tu ne
peux savoir combien l’horizon fume
Ta mort
essaime un sillage qui ment
Mon cœur
confus s’épanche amer comme l’onde
Le flot
du chagrin n’a pas de berges blondes
Ton
absence est un azur qui meurt sans fin
Quels
confins bordent tes rives quels confins ?
CARRARE (Elisabeth Fuminier)
TRISTES
MAIS GESTES
mardi 11 octobre 2016
dimanche 9 octobre 2016
mercredi 5 octobre 2016
dimanche 25 septembre 2016
samedi 24 septembre 2016
vendredi 23 septembre 2016
dimanche 18 septembre 2016
lundi 12 septembre 2016
dimanche 11 septembre 2016
lundi 29 août 2016
dimanche 28 août 2016
Jacques Roland FOURNIER Photographe Œuvre son temps sans paraphe
Jacques Roland Fournier
Photographe
Contrairement
à la peinture et à l’idée
C’est le photographe qui doit prendre la pause
L’instantané tient à ce simple jeu de dés
Intuitif concert :
goût et hasard où l’on ose
Attendre que le monde vienne à son idée
Mais c’est le monde comme une carte postale !
Dis-je à cet artiste auquel tout paraît simple
— Qui tait toute l’algébrique de son mental—
« L’appareil est sophistiqué » croit-on en simple
Ses clichés figent le temps en instrumental
Symphonies de formes et couleurs démentielles
Fluides cristallins d’un bateau en argent
Flèches tendues à gratter le ciel
Trains et bateaux sur ciels grisés et ces gens
Comme manèges de la vie, Ô geste essentielle !
C’est le photographe qui doit prendre la pause
L’instantané tient à ce simple jeu de dés
Intuitif concert :
goût et hasard où l’on ose
Attendre que le monde vienne à son idée
Mais c’est le monde comme une carte postale !
Dis-je à cet artiste auquel tout paraît simple
— Qui tait toute l’algébrique de son mental—
« L’appareil est sophistiqué » croit-on en simple
Ses clichés figent le temps en instrumental
Symphonies de formes et couleurs démentielles
Fluides cristallins d’un bateau en argent
Flèches tendues à gratter le ciel
Trains et bateaux sur ciels grisés et ces gens
Comme manèges de la vie, Ô geste essentielle !
— Jacques Roland FOURNIER Photographe
Œuvre son temps sans paraphe —
CARRARE
samedi 27 août 2016
vendredi 19 août 2016
mercredi 27 juillet 2016
PONT STE MARIE (Aube) - Antoine MOGAVERO ou l'Art Funéraire en mouvement
Antoine restaure, refait les joints, pose des agrafes sur les stèles brisées. Antoine habille les tombes anciennes en granit... |
samedi 23 juillet 2016
jeudi 14 juillet 2016
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